Nous voici bien installés au début d’un hiver qui s’annonce, à faire envoler les mordorées la journée et profiter des soirées au coin du feu en famille à la veillée.

Le temps est donc venu de se remémorer les bons souvenirs de 2015.

Un mois de mars difficile, avec des niveaux très hauts, juste l’occasion d’admirer la rivière.

 

 

Les premières prises en avril, en sèche comme toujours. Des petites d’abord, puis les belles se montrent enfin. On peut voir la grande diversité « naturelle » les robes des truites tarnaises…

De belles sensation avec la douceur du bambou.

 

 

 

 

Le mois de mai, tout est parfait. Les niveaux réguliers tout au long du moi, une chaleur douce. Ici une bordure de rêve, le long des lauzes schisteuses où les postes se succèdent et les ronds quasi-invisibles révèlent parfois de belles surprises

 

 

 

Il est parfois temps d’aller se perdre au fond des vallées reculées ou malgré le soleil, les truites sont noires et sauvages.Certaines, proches des villes semblent sorties d’un tableau impressionniste

 

 

 

En juin, tout a commencé avec la grosse éclosion de « mouches de mai » faisant sortir les belles tant attendues. Quelques belles sorties entrecoupées d’orages et donc de repos forcés.

 

 

 

 

 

Et voilà enfin la période la plus excitante et aussi frustrante. Les coups du soir, avec l’incertitude  à chaque courbe de la rivière. Les mouches seront-elles là? Et les truites???

 

 

 

 

Un bilan mitigé quand même avec peu de belles truites vues comparé aux autres années. Les soirées n’ont pas été au niveau de l’année passée, peut-être la pluie, la fraicheur de juin, plein de questions resteront sans réponses.

 

La période estivale marque pour moi la fin de saison dans le Tarn, les eaux ont baissés régulièrement avec des conditions de plus en plus difficiles. Le temps de prospecter les derniers spots. Quelques belles surprises sur des secteurs peu pêchant depuis quelques années.

 

 

 

 

Et pour clôturer le tout, fin Aout, une sortie sur la Belle avec quelques ombres et une belle truite mais souvent trop rapides pour se laisser tirer le portrait.

Je repasse maintenant toutes ces images et une envie me prends, retrouver le bord de l’eau des belles rivières du Tarn ou d’ailleurs. Patience, encore 2 mois, le temps des montages est arrivé…

A bientôt.